Une bonne claque aux p'tites mauvaises odeurs ?
Militant du parti Jobbik en Hongrie - Photo: Reuters Il y a comme une odeur pestilentielle qui s'étend sur cette planète. A Toulouse, à Paris, à Copenhague, à Bruxelles, au Proche et au Moyen-Orient, l'antisémitisme, l'intolérance, la haine, le racisme s'étendent. Un voile noir s'étend. Bien entendu, il est possible de chercher des explications. Et même d'en trouver. Mais certainement pas d'excuser ces dérives.
Militant du parti Jobbik en Hongrie - Photo: Reuters
Il y a comme une odeur pestilentielle qui s'étend sur cette planète. A Toulouse, à Paris, à Copenhague, à Bruxelles, au Proche et au Moyen-Orient, l'antisémitisme, l'intolérance, la haine, le racisme s'étendent. Un voile noir s'étend. Bien entendu, il est possible de chercher des explications. Et même d'en trouver. Mais certainement pas d'excuser ces dérives.
La crise économique qui touche la planète, génère, comme les précédentes, une recherche de boucs émissaires. Mais comme l'expression l'indique, le bouc émissaire n'est pas responsable de ce dont on l'accuse. Le manque d'accès à la culture, le désintérêt pour l'Histoire (que le gouvernement de Nicolas Sakozy voulait supprimer en première S), le repli sur soi, la déshumanisation liée à la vie dans les grandes agglomérations, les relations interpersonnelles qui se tendent sur les lieux de travail, on en passe. Oui, il y a des causes à la multiplication des actes antisémites, islamophobes, racistes. Mais pas d'excuses.
La France peut se cacher derrière un panneau "Je suis Charlie", il n'empêche... Elle a généré Mohammed Merah. Elle a généré Chérif et Saïd Kouachi, Amedy Coulibaly. Elle a généré un bande de décérébrés qui ont profané 250 tombes et un monument aux victimes de la Shoah du cimetière juif de Sarre-Union. Au nom de quoi ? De la...