Un juge américain a besoin de 11 pages pour expliquer ce qu'est un tweet
Suite à la lecture d'un article d'une dépêche AFP publiée sur Libération et Le Monde, nous pouvons avoir maintenant la certitude que la justice américaine vient de pondre la meilleure documentation sur Twitter, un réseau social que nous affectionnons tout particulièrement à la rédaction de Reflets.
Suite à la lecture d'un article d'une dépêche AFP publiée sur Libération et Le Monde, nous pouvons avoir maintenant la certitude que la justice américaine vient de pondre la meilleure documentation sur Twitter, un réseau social que nous affectionnons tout particulièrement à la rédaction de Reflets. Figurez vous qu' un juge américain s'intéressant à l'un des activistes du mouvement Occupy Wall Street, à l'origine de cette FAQ que tout le monde devrait se taper, a quand même réussi à pondre 11 pages pour expliquer que nos gazouillis étaient publics ! C'est dingue non ? Je sens que ça vous en touche une sans vous faire bouger l'autre... je me trompe ? Pourtant, à l'AFP, l'affaire est très grave car il s'agit à n'en pas douter d'une "une affaire qui pourrait faire jurisprudence concernant la liberté d’expression en ligne »... ben mon con ! Vous nous la refaite sans trembler des genoux celle là ?
Il y a quelques semaines de cela, la planète twitter commençait à s'émouvoir de la "censure géolocalisée" annoncée par le réseau social, omettant de se demander "mais comment ils faisaient avant ?"... et bien c'est simple, avant, quand Twitter censurait un contenu, il le censurait à l'échelle mondiale. Son annonce, bien que mal perçue dans l'ensemble, représentait pourtant un net progrès. C'est tout bête, mais une entreprise, fusse t-elle américaine, doit se plier...