Un hiatus, sinon rien (#climat)
C'est un fait avéré : ne pas suivre le discours officiel catastrophiste sur le dérèglement climatique est un crime de lèse-majesté. Les détracteurs arrivent avec des lames de rasoir sur le clavier, vous insultent et le plus souvent vous traitent d'imbécile, d'incompétent. Avec toujours, dans leur discours, de la "science". Eux seraient des scientifiques, formés, qui savent ce qu'ils disent, et vous, un imbécile qui ne comprend pas un traître de mot sur le sujet.
C'est un fait avéré : ne pas suivre le discours officiel catastrophiste sur le dérèglement climatique est un crime de lèse-majesté. Les détracteurs arrivent avec des lames de rasoir sur le clavier, vous insultent et le plus souvent vous traitent d'imbécile, d'incompétent. Avec toujours, dans leur discours, de la "science".
Eux seraient des scientifiques, formés, qui savent ce qu'ils disent, et vous, un imbécile qui ne comprend pas un traître de mot sur le sujet. Alors que discuter autour d'une affirmation scientifique est en réalité un exercice tout à fait intéressant et normal, en général. Mais avec le climat, ce n'est visiblement pas le cas. Prenons justement le sujet du "plateau climatique", appelé "hiatus" en langue anglaise. En parler, c'est déchaîner l'indignation des grands défenseurs de la vraie science, des pros du réchauffement. Sauf, que ce hiatus existe bien, est réel, et est reconnu par… le GIEC lui-même. Mais qu'est-ce donc ? Et pourquoi est-ce intéressant de regarder la chose scientifique en question ? Parce que c'est de la science, pas de la politique ou de la religion mâtinée d'idéologie et d'intérêts divers et variés.
Il y a une pause dans le réchauffement depuis 1998
Et les modèles du GIEC se sont fait exploser la tronche. Ils le savent, le reconnaissent, essayent de minorer le phénomène, mais au final, ils l'avouent. Le titre de cette...