Tiens, le Wall Street Journal ne lâche pas l'affaire Amesys...
Bien entendu, la toile s'est remplie ces derniers jours de dépêches d'agences courtes et peu documentées, certaines (AFP) ne sachant même pas ce qu'est le DPI, mais dissertant sans complexes, mais on n'a pas encore vu dans la presse classique un dossier un peu charnu sur le DPI et sur l'affaire Amesys. Pas plus qu'on en verra sur l'affaire BlueCoat (quoi que ça....). Bref. Une information chassant l'autre, la cellule de crise chez Amesys peut sans doute commencer à se reposer.
Bien entendu, la toile s'est remplie ces derniers jours de dépêches d'agences courtes et peu documentées, certaines (AFP) ne sachant même pas ce qu'est le DPI, mais dissertant sans complexes, mais on n'a pas encore vu dans la presse classique un dossier un peu charnu sur le DPI et sur l'affaire Amesys.
Pas plus qu'on en verra sur l'affaire BlueCoat (quoi que ça....). Bref. Une information chassant l'autre, la cellule de crise chez Amesys peut sans doute commencer à se reposer. Il faut dire que leur seule action visible jusqu'ici à été de fermer le site et de remplacer les pages par une image "En construction". Pas mal.
De son côté, le Wall Street Journal ne lâche pas l'affaire, trop content d'avoir trouvé une entreprise française impliquée dans la chasse aux opposants.
Reflets se permet une fois de plus de rappeler que tous les jours, l'entreprise américaine BlueCoat aide la Syrie à poursuivre les opposants au régime. Que l'on soit clairs, le scandale n'est pas qu'une société américaine, française, allemande, sud-africaine, que sais-je, aide des dictateurs à fouiller dans leur vie (privée) sur les réseaux. Le scandale est que des gens arrivent à se regarder tous les matins dans la glace en ayant vendu ce type de logiciels à des dictatures. Derrière les noms des boites, il y a des hommes. Des têtes. Ils ont négocié, vendu, fêté le marché, revendu du conseil, de la maintenance. Le tout à des dictateurs....