Réfugiés : cap sur le Vatican, on vous y attend
Allez, arrêtons toutes ces polémiques politiciennes permettant de faire remonter (l'idée est inverse mais c'est à cela que ça aboutit) le front national. Inutile de se battre sur qui accueillera les réfugiés récemment arrivés d'Afrique. Non, ce ne sera pas la France, ni la Grande Bretagne, ni l'Allemagne, encore moins l'Italie. C'est ... Le Vatican.
Allez, arrêtons toutes ces polémiques politiciennes permettant de faire remonter (l'idée est inverse mais c'est à cela que ça aboutit) le front national. Inutile de se battre sur qui accueillera les réfugiés récemment arrivés d'Afrique. Non, ce ne sera pas la France, ni la Grande Bretagne, ni l'Allemagne, encore moins l'Italie. C'est ... Le Vatican.
Hier, le pape, dans son message pascal "urbi et orbi" a lancé à l'adresse des dirigeants de la planète : "Aux nombreux exilés et aux réfugiés qui proviennent de différents pays africains et qui ont été contraints de laisser leurs affections les plus chères, que se manifeste la solidarité de tous !"
Tout le monde le sait, Benoît XVI ne lancerait pas un tel appel à la solidarité s'il ne comptait pas le mettre en pratique lui-même, en bon chrétien qu'il est. Du coup, amis réfugiés, foncez ! Procurez-vous une copie du discours dans un journal italien quelconque, présentez-vous au premier garde suisse venu, montrez-lui le discours du pape et paf!, vous êtes accueillis. Merci qui ? Merci ton pape !