./rebuild.sh Copwatch: yezzi.info
Combattre les violences policières avec des technologies sociales n’est pas une évidence. Cela demande de l’expérience. Beaucoup d’expérience. Copwatch-IDF - aujourd'hui censuré - est le résultat de l’initiative de gens opprimés, plus dans la lutte que dans la mise en place d’un contre pouvoir destiné à rééquilibrer une situation.
Combattre les violences policières avec des technologies sociales n’est pas une évidence. Cela demande de l’expérience. Beaucoup d’expérience.
Copwatch-IDF - aujourd'hui censuré - est le résultat de l’initiative de gens opprimés, plus dans la lutte que dans la mise en place d’un contre pouvoir destiné à rééquilibrer une situation. Ce site n’est ni tourné vers une solution au problème, ni même sur sa dénonciation dans son ensemble, à force de se focaliser sur des cas particuliers, si choquant soient-ils, on perd toute approche constructive globale.
Pour faire quelque chose de constructif, d’utile à la démocratie et à la justice, il faudrait se tourner vers des gens qui ont non seulement une grande expertise en matière de répression policière, mais également en matière de technologies sociales. Des gens qui cherchent une approche constructive, qui veulent bâtir un monde différent.
Bienvenue en Tunisie, une nation qui regorge d’informaticiens, de soleil et de répression policière, un pays dont l'expérience en matière de répression policière est bien plus vaste que ce que nous connaissons en France, quoi qu'en pense Michèle Aliot-Marie.
La Tunisie a montré que l’on pouvait s’opposer de façon constructive à la répression policière avec des technologies sociales. Accessoirement, en faisant cela et en déclenchant le printemps arabe, elle a mis à jour un concept de citoyenneté qui prenait la poussière et l'a mondialisé au passage.
C'est de ce pays que se lance...