Qosmos : oops on a perdu le contrat, mais on a rien à se reprocher
Il y a des jours comme ça, on a l'impression d'être pris pour des cons, ça ne tient pas à grand chose en fait, et puis on est toujours le con de quelqu'un après tout, donc rien de plus normal. Notre petite revue de presse matinale fut bien longue, en voici la cause, un épisode médiatique faisant suite à une une dénonciation auprès du Parquet du Tribunal de grande instance de Parisde la FIDH et de la LDH.
Il y a des jours comme ça, on a l'impression d'être pris pour des cons, ça ne tient pas à grand chose en fait, et puis on est toujours le con de quelqu'un après tout, donc rien de plus normal. Notre petite revue de presse matinale fut bien longue, en voici la cause, un épisode médiatique faisant suite à une une dénonciation auprès du Parquet du Tribunal de grande instance de Parisde la FIDH et de la LDH. Des dizaines, centaines, d'articles sur la supposée fourniture de moyens de surveillance de masse au régime de Bachar al Assad par une société française, Qosmos, via un intermédiaire italien, AreaSPA... Nous vous disions que plus rien ne serait jamais comme avant, mais voilà, interrogée par Le NouvelObs, Fleur Pelerin nous rappelle que le gouvernement actuel hérite d'une situation de 10 années de pratiques contractuelles avec des ordures pour de la fourniture de matériels de surveillance électronique.
Voici notre petite review médias :
Sur BFMTV :
[%dailymotion:xseas5qosmos-soupconnee-d-avoir-fourni-du-materiel-de-surveillance-au-regime-syriennews%]
Ou encore sur iTélé :
L'avocat de Qosmos assure que son client "n'a rien à se reprocher" comme nous l'explique Le Point en rebaptisant Qosmos en Cosmos.
C'est toujours amusant de voir à quel point
- Les régimes autoritaires s'intéressent au QoS et à l'optimisation des réseaux ;
- L'état français trouve super stratégique le financement...