#OccupyWallStreet : les Etats-Unis renouent avec les bonnes pratiques de George Bush
Allez, petite séquence de retour en arrière car si les plus vieux se souviennent, les plus jeunes peut-être pas. Il y a quelques années, le monde entier (sauf Villepin, étonnamment) suivait aveuglément George Bush dans ses délires et ceux des faucons qui l'entouraient. L'ancien président américain plongeait le monde dans un sacré chaos et transformait irrémédiablement la démocratie en autre chose.
Allez, petite séquence de retour en arrière car si les plus vieux se souviennent, les plus jeunes peut-être pas. Il y a quelques années, le monde entier (sauf Villepin, étonnamment) suivait aveuglément George Bush dans ses délires et ceux des faucons qui l'entouraient. L'ancien président américain plongeait le monde dans un sacré chaos et transformait irrémédiablement la démocratie en autre chose. On entrait dans l'ère du soupçon systématique où chaque citoyen du monde devenait un suspect en puissance. Et partant, devait être écouté a priori. Au cas où.
C'était l'ère de la dénonciation. Celle aussi des prisons fantômes, de la torture et des vols secrets de la CIA qui transitaient par l'Europe pour kidnapper des citoyens du monde n'ayant parfois aucun rapport avec le terrorisme. C'était l'époque de la série 24 heures ou tout était justifiable et où l'on pouvait utiliser les mêmes armes que les terroristes. C'était l'époque de Guantanamo où sont encore aujourd'hui enfermé des gamins, parfois simples bergers dénoncés aux Américains contre espèces sonnantes et trébuchantes. C'était l'époque de la privatisation de la guerre au profit de sociétés n'ayant aucune éthique.
Et puis Barak Obama est arrivé. Il apportait l'espoir. Nous respirions. La démocratie allait redevenir la démocratie et les gens qui ont, simplement, une vision différente du monde ne serait plus considérés comme de dangereux terroristes.
Mais en...