Nicolas Sarkozy : trois conneries et ça repart
Asseyez-vous, relaxez-vous, respirez profondément. Prêt ? Figurez-vous que Nicolas Sarkozy est devenu... "supraprésident". Qu'il a changé... Encore. Déjà, lorsqu'il n'était qu'hyperprésident, il avait réussi à transformer la France en risée de la communauté internationale, à faire du George Bush aux petits pieds, à bafouer autant qu'il le pouvait le concept de séparation des pouvoirs, à menacer à tour de bras.
Asseyez-vous, relaxez-vous, respirez profondément. Prêt ? Figurez-vous que Nicolas Sarkozy est devenu... "supraprésident". Qu'il a changé... Encore. Déjà, lorsqu'il n'était qu'hyperprésident, il avait réussi à transformer la France en risée de la communauté internationale, à faire du George Bush aux petits pieds, à bafouer autant qu'il le pouvait le concept de séparation des pouvoirs, à menacer à tour de bras. Qu'est-ce que ce sera maintenant que les "éditorialistes" l'ont bombardé "supraprésident" ?Vous souvenez-vous de l'homme qui expliquait doctement qu'un instituteur ne remplacerait jamais un bon curé ? De celui qui assénait aux étudiants à Dakar que l'homme africain n'était pas assez entré dans l'histoire ? De celui qui voulait nommer son rejeton à peine sorti de sa période boutonneuse à la tête de l'Epad ? De celui qui menaçait la presse (notamment de lui couper les vivres) ? De celui qui traitait les magistrats de petits pois ? De l'hyperprésident qui annonçait à grands coups de menton que les paradis fiscaux, c'était fini, que la spéculation, c'était du passé, que la finance internationale allait plier sous ses coups de boutoir ? De celui qui irait chercher la croissance avec les dents ? Vous souvenez-vous de ce président qui après avoir eu sa grande époque "bling-bling" (ayé, ayé, je suis le patron, je vais m'exploser la rate) annonçait urbi et orbi :...