Aidez nous a passer un tournant crucial de notre existence
Aidez nous à passer le cap des six prochains mois : Reflets est à un tournant critique de son existence. Et sans vous, nous n'y arriverons pas. Depuis deux ans nous mettons en place des solutions alternatives pour financer le journal. Mais nous avons du investir pour cela. Il nous faut du temps pour engranger les bénéfices de ces investissements.
Faire des enquêtes de qualité coûte cher. Depuis sa création, Reflets.info a toujours refusé les financements douteux, la pub invasive, le marketing à outrance ou les compromis éditoriaux.
Aujourd’hui, nous sommes dans le rouge. Nous avons dû commencer à entamer nos réserves qui ne sont pas très importantes et les abonnements continuent de baisser.
A force d'écrire des choses sur la crise financière qui secouait le monde depuis l'explosion de celle des subprimes, il m'avait semblé utile de vulgariser un peu tous ces concepts macro-économiques abscons. J'avais donc entrepris fin 2010 de raconter comment j'avais expliqué la crise financière à Paulo, un habitué du Bar des Amis ou je bois régulièrement mon café. C'était un résumé de tout ce que j'avais pu raconter précédemment sur Aporismes.com ou sur Kitetoa.com.
A force d'écrire des choses sur la crise financière qui secouait le monde depuis l'explosion de celle des subprimes, il m'avait semblé utile de vulgariser un peu tous ces concepts macro-économiques abscons. J'avais donc entrepris fin 2010 de raconter comment j'avais expliqué la crise financière à Paulo, un habitué du Bar des Amis ou je bois régulièrement mon café. C'était un résumé de tout ce que j'avais pu raconter précédemment sur Aporismes.com ou sur Kitetoa.com. Mais en prenant le temps d'expliquer calmement les répercussions à venir. Par la suite, au fil des innombrables "sommets de la dernire chance" pour sauver la Grèce, l'Irlande, le Portugal, tous pays qui disait-on quelques semaines avant, n'avaient pas besoin d'être sauvés, je racontais que tout cela n'était que marketing et écrans de fumée. L'Europe, mais aussi les Etats-Unis ou la Chine sont au bout d'un cycle. Tout s'écroule doucement, mais très sûrement. Il n'y a qu'une solution pour sauver ce qu'il reste du système capitaliste et personne ne prendra le risque de la mettre en oeuvre : désarmer le secteur financier. Tant que l'on a une bombe, on a tendance à s'en servir. Enlevez-là à son détenteur, il parait tout de suite moins arrogant et ne fait plus de mal à une mouche.
Alors mon vieux Paulo, il faut qu'on reprenne la discussion où on l'avait laissée.