Mon pauvre Paulo, la situation se dégrade...
A force d'écrire des choses sur la crise financière qui secouait le monde depuis l'explosion de celle des subprimes, il m'avait semblé utile de vulgariser un peu tous ces concepts macro-économiques abscons. J'avais donc entrepris fin 2010 de raconter comment j'avais expliqué la crise financière à Paulo, un habitué du Bar des Amis ou je bois régulièrement mon café. C'était un résumé de tout ce que j'avais pu raconter précédemment sur Aporismes.com ou sur Kitetoa.com.
A force d'écrire des choses sur la crise financière qui secouait le monde depuis l'explosion de celle des subprimes, il m'avait semblé utile de vulgariser un peu tous ces concepts macro-économiques abscons. J'avais donc entrepris fin 2010 de raconter comment j'avais expliqué la crise financière à Paulo, un habitué du Bar des Amis ou je bois régulièrement mon café. C'était un résumé de tout ce que j'avais pu raconter précédemment sur Aporismes.com ou sur Kitetoa.com. Mais en prenant le temps d'expliquer calmement les répercussions à venir. Par la suite, au fil des innombrables "sommets de la dernire chance" pour sauver la Grèce, l'Irlande, le Portugal, tous pays qui disait-on quelques semaines avant, n'avaient pas besoin d'être sauvés, je racontais que tout cela n'était que marketing et écrans de fumée. L'Europe, mais aussi les Etats-Unis ou la Chine sont au bout d'un cycle. Tout s'écroule doucement, mais très sûrement. Il n'y a qu'une solution pour sauver ce qu'il reste du système capitaliste et personne ne prendra le risque de la mettre en oeuvre : désarmer le secteur financier. Tant que l'on a une bombe, on a tendance à s'en servir. Enlevez-là à son détenteur, il parait tout de suite moins arrogant et ne fait plus de mal à une mouche.
Alors mon vieux Paulo, il faut qu'on reprenne la discussion où on l'avait laissée.
A l’époque, l’on avait évoqué le fait que...