Aidez nous a passer un tournant crucial de notre existence
Aidez nous à passer le cap des six prochains mois : Reflets est à un tournant critique de son existence. Et sans vous, nous n'y arriverons pas. Depuis deux ans nous mettons en place des solutions alternatives pour financer le journal. Mais nous avons du investir pour cela. Il nous faut du temps pour engranger les bénéfices de ces investissements.
Faire des enquêtes de qualité coûte cher. Depuis sa création, Reflets.info a toujours refusé les financements douteux, la pub invasive, le marketing à outrance ou les compromis éditoriaux.
Aujourd’hui, nous sommes dans le rouge. Nous avons dû commencer à entamer nos réserves qui ne sont pas très importantes et les abonnements continuent de baisser.
Moi, Kitetoa, ex cybercriminel, associé à un cybercriminel (pour l'instant)
Pas Sage en Seine a été l'occasion d'écouter deux conférences passionnantes. L'une de Zythom, un expert judiciaire spécialisé dans l'informatique et l'autre, de Maître Eolas. L'occasion également d'échanger avec eux par le biais des questions du public. Tous deux ont évoqué en profondeur ce que la justice considère comme une intrusion et un maintien dans un système automatisé de données. En d'autre termes, un piratage informatique.
Pas Sage en Seine a été l'occasion d'écouter deux conférences passionnantes. L'une de Zythom, un expert judiciaire spécialisé dans l'informatique et l'autre, de Maître Eolas. L'occasion également d'échanger avec eux par le biais des questions du public. Tous deux ont évoqué en profondeur ce que la justice considère comme une intrusion et un maintien dans un système automatisé de données. En d'autre termes, un piratage informatique. Je suis à la base d'une jurisprudence dite "Tati versus Kitetoa" qui est citée dans tous les congrès juridiques qui abordent ce sujet. Bluetouff m'a rejoint il y a peu après ses déboires avec l'ANSES. Etonnament, nous avons créé ensemble une entreprise, ./Rebuild.sh (qui édite Reflets), un comble d'ailleurs pour moi qui suis à l'entrepreneuriat ce que l'UMP est à la création de sites Web (sous Spip ou pas). Voici donc une entreprise, ./Rebuild.sh, qui est dirigée par un ancien cybercriminel (j'ai été condamné en première instance puis relaxé en appel) et un cybercriminel (relaxé en première instance, puis condamné en appel). Nous tablons tous, chez Reflets et vous amis lecteurs qui avez aidé à financer le pourvoi en Cassation, sur le fait que cette condamnation est provisoire. Après mes interactions avec Zythom et Eolas à Pas Sage en Seine, je voudrais revenir sur ce délit d'intrusion et de maintien. Les cybercriminels (pas Chinois) vous parlent...