Menaces, intimidation, harcèlement et DDoS : les méthodes de lutte contre le piratage de AIPLEX
Il semble que Reflets soit quand même tombé sur de sacrés zigotos en révélant les activités d'AIPLEX, une société dont le coeur de métier est la lutte contre le piratage des oeuvres de l'esprit sur Internet. Quelques petites recherches nous ont très rapidement conduit à des informations qui pourraient nous expliquer l'aplomb avec lequel Monsieur Delacroix nous a menti. Il semble évident que l'ALPA ne souhaite en aucun cas être associée à AIPLEX, et on peut le comprendre.
Il semble que Reflets soit quand même tombé sur de sacrés zigotos en révélant les activités d'AIPLEX, une société dont le coeur de métier est la lutte contre le piratage des oeuvres de l'esprit sur Internet. Quelques petites recherches nous ont très rapidement conduit à des informations qui pourraient nous expliquer l'aplomb avec lequel Monsieur Delacroix nous a menti. Il semble évident que l'ALPA ne souhaite en aucun cas être associée à AIPLEX, et on peut le comprendre. Quand, interrogé par Numerama, le représentant d'AIPLEX assurait ne pas savoir que la collecte et le traitement de données personnelles étaient soumis à certaines règles chez nous, nous avons un peu tiqué. Cédric De San explique d'ailleurs sur Numerama que son entreprise arrive à faire retirer 90% des liens visés, à en détecter 100%, qu'elle lave plus blanc que blanc et qu'elle redépose la crasse propre dans les poubelles des internets en usant de certaines techniques de harcèlement... fortiches les mecs... 100%, pas 35% ! mais 100% ! Tout ça avec des menaces, de l'intimidation des attaques DDoS et parfois un peu plus.
Comment une entreprise, fut-elle indienne, qui prétend lutter contre le piratage pour faire respecter les droits des auteurs peut se montrer aussi ignorante de la législation d'un pays qu'elle prospecte ? C'est Forbes qui nous apporte un premier élément de réponse, c'est juste qu'en fait, ils s'en fichent.
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