Martine et le monde qui vient
Il faut l'avouer, la rédaction de Reflets commençait un peu à perdre la foi. Entre la baisse régulière des dons des lecteurs qui condamne à terme ce journal, les lois sécuritaires, Mirza, la chienne de notre coiffeur qui était malade, Trump qui continue de caracoler dans la course à l'investiture aux Etats-Unis, la mort de Bowie, l'arrivée du bouton "Haha" sur Facebook... c'était trop pour nous. La lecture du livre "Martine et le monde qui vient" nous a toutefois redonné l'envie de rire.
Il faut l'avouer, la rédaction de Reflets commençait un peu à perdre la foi. Entre la baisse régulière des dons des lecteurs qui condamne à terme ce journal, les lois sécuritaires, Mirza, la chienne de notre coiffeur qui était malade, Trump qui continue de caracoler dans la course à l'investiture aux Etats-Unis, la mort de Bowie, l'arrivée du bouton "Haha" sur Facebook... c'était trop pour nous. La lecture du livre "Martine et le monde qui vient" nous a toutefois redonné l'envie de rire.
Dans le livre, Martine s'inquiète. Et elle en a assez. On vous résume : le gouvernement issu de ses rangs (socialistes) fait une politique de droite, fait passer ses textes par oukases (49-3), accumule les cadeaux en tous genre (argent, droit du travail revu et corrigé) au patronat. Trop c'est trop nous dit Martine.
Et tout ça, c'est frai.
Il était temps qu'un éléphant (les pontes du PS, pour les moins de vingt ans qui...) se lève et dise tout haut ce que tout le monde pense tout bas (oups...) mais n'ose pas dire de peur de perdre son investiture. Bravo Martine.
Ceci dit, c'est un peu tout ce que racontent les observateurs avisés depuis longtemps. Tous ces exégètes amateurs qui osent critiquer les décisions ubuesques et autoritaires de ce gouvernement se lamentent depuis longtemps, tentent de mobiliser, cherchent le dialogue, mais ne récoltent qu'insultes ou mépris.
Et puis, Martine, camarade,...