LOPPSI : un pas de géant vers la dictature ?
C'est à se demander si Nicolas Sarkozy ne s'est pas offert les services du président vénézuélien Hugo Chavez. Comme chacun le sait, le vénézuela est une grande démocratie populaire, un véritable exemple pour un pays comme la France qui lui emboite le pas avec une réthorique curieusement similaire... et il y a de quoi s'inquiéter très sérieusement.
C'est à se demander si Nicolas Sarkozy ne s'est pas offert les services du président vénézuélien Hugo Chavez. Comme chacun le sait, le vénézuela est une grande démocratie populaire, un véritable exemple pour un pays comme la France qui lui emboite le pas avec une réthorique curieusement similaire... et il y a de quoi s'inquiéter très sérieusement.
Exceptionnellement, nous n'allons pas nous faire l'écho des nombreux articles qui soulignent l'atteinte manifeste à la liberté d'expression (délit d'usurpation d'identité ou blocage de sites web, nous aurons l'occasion d'y revenir très bientôt).
Nous allons juste nous attacher à cette inquiétante "forme" qui décrit le délit d'usurpation d'identité, et vous allez voir, c'est flippant...
Il y a quelques semaines, le président Chavez décidait d'étendre une loi de presse à l'ensemble de sa population pour "encadrer" les écrits sur Internet. Cette "loi de responsabilité sociale de la radio, de la télévision et des médias électroniques" dit que les écrits qui : "incitent, promeuvent ou font l'apologie du délit", "font de la propagande guerrière", " cherchent à créer de l'anxiété chez les citoyens , ou portent atteinte à l'ordre public", "ne reconnaissent pas les autorités légitimement constituées", "appellent au meurtre", ou "incitent à ne pas respecter...