Les sectes politiques et leurs gourous : Soral, Asselineau, Chouard
Ca commence à lasser sérieusement d'avoir, à chaque article qui traite de politique ou d'économie, les commentaires enflammés des soutiens de certains "courants politiques" plus ou moins obscurs. Comme à chaque fois que la situation est bloquée, la corruption à son plus haut niveau, des sauveurs se pointent, avec des analyses et des solutions "géniales" et facilement compréhensibles. Sont-ce des partis politiques ? Des penseurs politiques ? Non, ce n'en est pas.
Ca commence à lasser sérieusement d'avoir, à chaque article qui traite de politique ou d'économie, les commentaires enflammés des soutiens de certains "courants politiques" plus ou moins obscurs. Comme à chaque fois que la situation est bloquée, la corruption à son plus haut niveau, des sauveurs se pointent, avec des analyses et des solutions "géniales" et facilement compréhensibles. Sont-ce des partis politiques ? Des penseurs politiques ? Non, ce n'en est pas. Parce qu'ils contiennent plus de composants définissant une secte qu'un parti politique en tant que tel. Explications.
L'UPR, Egalité et Réconciliation et…Chouard
Pourquoi ces trois là ? Simplement parce qu'ils sont liés, attirent des soutiens très similaires, voire "collectent" les mêmes aficionados. Mais parce qu'aussi, au delà de leurs analyses et constats très parallèles, leur fonctionnement est à chaque fois celui d'une secte. Prenons l'UPR.L'Union Populaire Républicaine, dirigée avec maestria par le formidable Asselineau : ce parti qui ne veut pas se définir véritablement à droite, veut traverser les courants et réunir des gens autant de droite que de gauche, a une certaine audience grâce à son chef, disons plutôt son gourou.
Un gourou ? Oui, un gourou : comme dans les sectes, l'UPR n'existe que par les analyses et conférences de son gourou. Le gourou disparaît, l'UPR disparaît. L'UPR a...