Les morts ne font pas avancer les révolutions, l'argent, si...
Les morts s'amoncèlent. Après la Tunisie et l'Egypte, la Libye, Le Yemen, Bareihn. Pour autant, les grandes puissances se contentent de déclarations qui tombent dans les oreilles de sourds. Les dictateurs ont généralement un profil psychologique qui permet au pire des imbéciles de comprendre que les admonestations des Etats-Unis, de l'Europe ou de l'ONU sont parfaitement inefficaces.
Les morts s'amoncèlent. Après la Tunisie et l'Egypte, la Libye, Le Yemen, Bareihn. Pour autant, les grandes puissances se contentent de déclarations qui tombent dans les oreilles de sourds. Les dictateurs ont généralement un profil psychologique qui permet au pire des imbéciles de comprendre que les admonestations des Etats-Unis, de l'Europe ou de l'ONU sont parfaitement inefficaces. Du coup, pendant que le petit jeu malsain des "c'est mal, on vous demande d'arrêter" et des "nous ne nous laisserons pas impressionner", les morts se multiplient.
In fine, les grandes puissances finissent par agir. Non pas au nom de grands idéaux, mais pour des raisons clairement économiques. Lorsque le danger est trop grand pour leur confort économique, l'état de leurs finances, elles sonnent la fin de la récréation.
Avec un peu de chance, c'est ce qui ne devrait pas tarder à arriver.
C'est un constat parfaitement cynique, mais qui pourrait permettre aux peuples en lutte de ne plus voir défiler des cadavres (attention image très dure).
Hier, les cours du pétrole sont partis en flèche. Selon Boursier.com, "ce matin, le cours du baril de pétrole brut américain WTI a rebondi de plus de 1,5% à 87,40$ (contrat à terme de mars) sur les marchés asiatiques, tandis que le Brent de Mer du Nord s'approche à nouveau des 104$ le baril à 103,70$". Le site économique rappèle que "la Libye produit 1,58 million de barils de pétrole par...