Le prêtre et les suceuses
Parfois, on se demande s'ils le font exprès ou si c'est involontaire. Dans certains cas, les communicants, les journalistes peuvent aller loin dans la "provocation", histoire d'accrocher le regard du chaland désabusé. Un titre bien sulfureux (par exemple "Le prêtre et les suceuses"), un nom de boite ou un slogan assez osé peuvent aider à sortir du lot...
Parfois, on se demande s'ils le font exprès ou si c'est involontaire. Dans certains cas, les communicants, les journalistes peuvent aller loin dans la "provocation", histoire d'accrocher le regard du chaland désabusé. Un titre bien sulfureux (par exemple "Le prêtre et les suceuses"), un nom de boite ou un slogan assez osé peuvent aider à sortir du lot...
En fouillant mes archives je suis retombé sur cette fabuleuse Une du journal paroissial que je recevais comme spam dans ma boite aux lettres il y a quelques années :
En période de scandales répétés liés à des dérives pédophiles de prêtres, le titre du dossier était peut-être un peu mal choisi.
Mais tout est possible. Y compris choisir un nom de boite comme celui-ci :
Pensée émue pour les commerciales qui font du démarchage :
"Bonjour monsieur, les suceuses de l'Ouest à l'appareil..."
Dur métier...