Le pied de nez du barreau aux politiques
Les présidentielles approchant à grands pas, les politiciens préparent l’avenir.
Pratique.
Le Conseil national des barreaux (CNB), mi-rigolard, mi énervé, a répondu avec une nette pointe d’ironie aux politiques en annonçant un recours.
Il « n'y a dans l'attitude du Conseil national des barreaux ni parti pris de méchanceté, ni jalousie, ni frilosité, mais le seul désir que ceux qui nous font l'honneur de nous rejoindre, loin de banaliser le nom que nous portons, nous rendent au contraire fiers de les compter parmi nos nouveaux confrères », indique Thierry Wickers, le président du CNB.
Sous-entendu, tous les hommes politiques ne rendraient pas les avocats fiers de les avoir comme confrères ?
On se demande bien pourquoi et qui entrerait dans cette catégorie.
Des noms !