Le mercredi c'est aussi HackMusik
(Oui, ne restons pas dans des pantoufles trop confortables, des pistes trop conventionnelles pour parler du hacking. Le hacking devient aujourd'hui, de plus en plus, une mode, une sorte de jeu pour ceux "qui veulent en faire partie", et pourtant, et pourtant…
(Oui, ne restons pas dans des pantoufles trop confortables, des pistes trop conventionnelles pour parler du hacking. Le hacking devient aujourd'hui, de plus en plus, une mode, une sorte de jeu pour ceux "qui veulent en faire partie", et pourtant, et pourtant…)
Qu'il est difficile d'être réellement un hacker quand on n'a qu'un tee-shirt avec une tête de mort et un ordinateur portable recouvert d'autocollants explicites, une distribution GNU/Linux qu'on arbore comme un trophée et quelques scripts obscurs de scans de sites webs pour tenter toutes les nuits des injections SQL, afin de démontrer qu'on en est un.
Des hackers, il y en a dans de nombreux domaines. Ils le sont, hackers, ils le vivent le hacking, parce que c'est une façon de voir le monde. Un monde où l'homme est créatif, inventif, collaboratif, ingénieux, passionné, solidaire et talentueux dans ce qu'il fait, pour le plaisir de le faire. Mais en sortant des sentiers battus. En découpant en rondelles quelque chose pour en inventer une autre. Ce qui est aussi possible en musique.
C'est ainsi, qu'en 1959, sont entrés dans un studio d'enregistrement aux Etats-Unis, une bande de hackers de la musique. Invités par le plus génial d'entre eux. Pour mieux comprendre de quoi il retourne, et avant d'écouter onze minutes et 33 secondes de bonheur pur, laissons un critique musical s'exprimer, avant de parler de "comment ce hack musical...