Le FESF : un truc d'avenir
Il y a des petites perles qui passent malheureusement inaperçues. Celle-ci a été repérée par Zerohedge. Pendant que les marchés continuent de vivre leur petite euphorie passagère, le FESF, installé au Luxembourg..., révélait fin décembre à quoi il ressemblait. On trouve dans cette jolie présentation les contributions des états qui y participent. Bien entendu, il y a parmi les "gros" contributeurs l'Allemagne (29,07%) et la France (21,83%). Mais plus amusant, il y a aussi l'Italie (17,86%).
Il y a des petites perles qui passent malheureusement inaperçues. Celle-ci a été repérée par Zerohedge. Pendant que les marchés continuent de vivre leur petite euphorie passagère, le FESF, installé au Luxembourg..., révélait fin décembre à quoi il ressemblait.
On trouve dans cette jolie présentation les contributions des états qui y participent. Bien entendu, il y a parmi les "gros" contributeurs l'Allemagne (29,07%) et la France (21,83%). Mais plus amusant, il y a aussi l'Italie (17,86%). Si, si, l'Italie, vous savez, ce pays qui est au bord du gouffre et dont le dirigeant appelle officiellement dans le Financial Times l'Allemagne à faire quelque chose pour l'aider, sinon...
Mieux... L'Espagne représente dans le scenario 12,75% des contributions.
Le Portugal, la Grèce et l'Irlande sont sorti des radars en raison de leurs appels à l'aide internationale. Ahem... Et demain, si l'Espagne et l'Italie sortent ? On fait quoi ? La part de l'Allemagne et de la France s'envolent. Sachant que personne n'a le moindre brouzouf pour ajouter dans le puits sans fond, on imagine aisément la suite de l'histoire.
Allez les marchés, enjoy your rally, comme l'on vous disait il y a peu. Ça risque de ne pas durer.