La projection holographique, un défi contre la mort
Tout le monde se souvient des fameuses projections holographiques de la princesse Leïa par le biais du fidèle R2D2 dans Star Wars (1977). Ces images en ont fait rêver plus d’un et, à l’époque, elles semblaient faire partie d’un champ de l’impossible ou tout au moins d’un futur très très lointain, suffisamment éloigné pour qu’on en soit rendu à l’état de squelette desséché avant que quiconque ne soit en mesure de nous délivrer des messages holographiques.
Tout le monde se souvient des fameuses projections holographiques de la princesse Leïa par le biais du fidèle R2D2 dans Star Wars (1977). Ces images en ont fait rêver plus d’un et, à l’époque, elles semblaient faire partie d’un champ de l’impossible ou tout au moins d’un futur très très lointain, suffisamment éloigné pour qu’on en soit rendu à l’état de squelette desséché avant que quiconque ne soit en mesure de nous délivrer des messages holographiques.
On ne peut pas parler d’art de l’image sans parler d’hologrammes ou d’holographie. En effet, ces projections de lumière font partie d’un univers magique réservé à quelques initiés. Actuellement une technologie de moins en moins onéreuse, basée sur le principe holographique, intéresse de nombreux photographes et spécialistes de l’événementiel. C’est ainsi que le grand public commence à voir des spectacles époustouflants de projection holographique dans des cadres très variés pouvant aller de scènes de théâtre à des immeubles en plein cœur de la ville. Il suffit pour se faire d’un écran spécialement conçu pour restituer des images virtuelles parfaitement intégrées dans le monde réel et d’un vidéoprojecteur d’une puissance lumineuse particulière.
L’holographie : une histoire ancienne
Une fois n’est pas coutume, cette chronique s’autorise à faire un bond en arrière de plus d’un siècle. C’est au cœur du microcosme de la physique française, en 1891, que Gabriel Lippman, physicien à la Sorbonne a parlé pour la première fois...