L’art passe par le prout
On ne le répétera jamais assez, la com’, dans son aspect “créatif”, c’est de l’art. Mon problème, c’est de n’être pas “créatif”, mais de produire du contenu. Et ça, ce n’est pas de l’art. Bref. Un jour, on me demande de plancher sur une série “virale” pour faire parler des capacité de mon client préféré à fournir aux consommateurs qu’il vise, des solutions informatiques de première bourre. Aujourd’hui, les agences ne jurent que par le flash.
On ne le répétera jamais assez, la com’, dans son aspect “créatif”, c’est de l’art.
Mon problème, c’est de n’être pas “créatif”, mais de produire du contenu. Et ça, ce n’est pas de l’art.
Bref. Un jour, on me demande de plancher sur une série “virale” pour faire parler des capacité de mon client préféré à fournir aux consommateurs qu’il vise, des solutions informatiques de première bourre.
Aujourd’hui, les agences ne jurent que par le flash. Comme hier elles ne juraient que par le “viral”. On a vu également la période “réseaux sociaux” avec la mode Myspace et Facebook. De pauvres utilisateurs de base du Web 2.0 n’ayant aucune connaissance technique et encore moins historique de ce réseau ont ainsi péroré pendant des mois sur l’impact mortel des réseaux sociaux sur le business. Les “clients” devaient migrer une bonne partie de leur communication sur les blogs et autres réseaux sociaux ou mourir. Ce discours est revenu par la bande avec l’élection américaine. Obama étant plus présent et ayant plus d’amis sur Facebook que Clinton, cela aurait pu, paraît-il, avoir un impact sur l’élection. Voyez-vous cela… Bref. On se demande quelle histoire pourront encore inventer demain les “agences” à propos de l’impact d’Internet pour vendre encore et encore à leurs clients des stratégies à la noix. Mais c’est une autre histoire.
Revenons donc à notre film viral…
Le sujet était ardu car je n’avais vu qu’une fois un film de ce genre sur ce client qui soit réussi. Il développait les...