L'après Snowden : la confidentialité, c'est pas simple comme l'installation d'Ubuntu
Un article sur Ecran/Libération, signé des copains de l'APRIL a donné lieu à une discussion enflammée avec mon ami Bruno... Il s'agit de cet article, intitulé "L’après-Snowden : reprendre en main son informatique". Sa saine lecture, à mon sens, a le mérite de rebondir sur le scandale des grandes oreilles américaines dont la majorité des gens se fichent totalement puisqu'ils n'ont "rien à cacher", pour évangéliser sur l'utilisation des logiciels libres.
Un article sur Ecran/Libération, signé des copains de l'APRIL a donné lieu à une discussion enflammée avec mon ami Bruno... Il s'agit de cet article, intitulé "L’après-Snowden : reprendre en main son informatique". Sa saine lecture, à mon sens, a le mérite de rebondir sur le scandale des grandes oreilles américaines dont la majorité des gens se fichent totalement puisqu'ils n'ont "rien à cacher", pour évangéliser sur l'utilisation des logiciels libres. C'est une démarche que je peux comprendre mais dont je peux aussi comprendre qu'elle passe mal pour d'autres. Et comme c'est demain trolldi, nous allons avoir matière à troller un peu.
Les logiciels libres sont souvent avancés comme une mesure de sécurité et de protection des données personnelles, c'est partiellement vrai. L'argument est valide, même si les logiciels libres sont attaqués, comme les logiciels privateurs de libertés. Mais la liberté est une chose, la sécurité en est une autre.
Et quand on cause avec Bruno... c'est crypto
La cryptographie, ou l'art du chiffrement : on parle en fait de mesure de protection des données par le chiffrement. Le chiffrement peut être opéré pour transporter les données (typiquement lorsqu'on transfert un fichier d'une machine à une autre machine), ou alors pour le stockage des fichiers (chiffrement des données stockées sur un disque dur). On le martèle souvent dans ces pages, le chiffrement...