Juste après la pub, une décapitation...
Lorsqu'une marque décide d'un plan media, elle sait quand et où sa publicité va être publiée ou diffusée. D'ailleurs, les prix ne sont pas les mêmes pour une pleine page, un quart de page, au début ou à la fin d'un journal. Pas le même non plus avant le 20 heures, après, ou en fin des "programmes de la nuit". Dans tous les cas, la marque achète un espace dans un medium qu'elle choisit. Ça, c'était avant. Avec a presse traditionnelle. Maintenant, avec Internet, c'est différent.
Lorsqu'une marque décide d'un plan media, elle sait quand et où sa publicité va être publiée ou diffusée. D'ailleurs, les prix ne sont pas les mêmes pour une pleine page, un quart de page, au début ou à la fin d'un journal. Pas le même non plus avant le 20 heures, après, ou en fin des "programmes de la nuit". Dans tous les cas, la marque achète un espace dans un medium qu'elle choisit.
Ça, c'était avant. Avec a presse traditionnelle.
Maintenant, avec Internet, c'est différent. Les régies publicitaires diffusent de manière aléatoire (même si elle font un peu de géolocalisation pour affiner le message et le mettre en adéquation avec le type de visiteur) sur des milliers de pages. A la grande époque de Nicolas Sarkozy, on trouvait ainsi des articles le concernant avec tout autour, des pubs pour Rolex. Les collisions de ce type se multiplient et il manque vraiment une étude pour comprendre l'impact, sans doute négatif, sur l'image des marques qui se retrouvent sur des pages ne correspondant pas du tout à leur cible.
Un sommet vient d'être atteint. Une page en Russie relayant la décapitation d'Hervé Gourdel propose à ses visiteurs une petite publicité avant de montrer l'horreur. Si, si, ça détend la pub. Et même parfois, cela se veut drôle. Comme cette pub d'EDF avec Eric Judor qui m'a été imposée avant l'effroyable vidéo de la décapitation de l'otage français. "L’énergie est notre...