J’crois que ça va l’faire…
Me voici devant la porte de “l’agence”. C’est un très beau bâtiment. Je dirais même qu’il y a quelque chose de travaillé pour épater le visiteur. Oups. Le “client”. Quelques instants plus tard, je rencontre le “Directeur de la Création”. C’est lui qui s’occupe, comme son nom l’indique, des “créatifs”. Il m’explique brièvement l’organisation de “l’agence”. Les commerciaux gèrent la relation avec le“client”. Ils enregistrent les demandes et tentent de “développer le compte”.
Me voici devant la porte de “l’agence”. C’est un très beau bâtiment. Je dirais même qu’il y a quelque chose de travaillé pour épater le visiteur. Oups. Le “client”.
Quelques instants plus tard, je rencontre le “Directeur de la Création”. C’est lui qui s’occupe, comme son nom l’indique, des “créatifs”.
Il m’explique brièvement l’organisation de “l’agence”. Les commerciaux gèrent la relation avec le“client”. Ils enregistrent les demandes et tentent de “développer le compte”. C’est à dire en français : faire cracher le client avec de nouvelles propositions d’actions de communication qui lui seront forcément profitables. Les “créatifs” sont pour leur part chargés de trouver la bonne idée qui va permettre au “client” d’avoir une com’ de fou pour rendre ses produits ou services hyper appétants. Par la suite, il feront l’image qui va bien en utilisant un logiciel incompréhensible pour le management de “l’agence” : Photoshop. Voire même Dreamweaver ou un truc similaire. Ce qui les rend à la fois indispensables (ils savent faire des trucs avec des logiciels hyper compliqués) et totalement inintéressants (ce sont les petites mains de “l’agence”).
Le “Directeur de la Création” (on dit DC ou mieux : Executive Creative Director) m’explique ce qu’il attend de moi. Il s’agit de s’occuper du contenu éditorial de deux gros sites français d’un grand éditeur de logiciels et des newsletters qui lui sont liées. “Il y a tout à...