Gouvernants du monde entier : choisissez votre camp avant qu’il ne soit trop tard
Vous n'y pouvez rien, c'est quelque chose que vous n'avez pas choisi et que vous ne pouvez pas différer. C'est l'heure du choix. Les événements au Maghreb vous l'imposent. Et pour l'instant, vous faites le mauvais. Il vous est donné de choisir entre la "diplomatie de la défiance" et celle de la "confiance". Vous avez soutenu pendant des décennies des dictateurs. Ils torturaient, affamaient, emprisonnaient, pillaient les richesses de leurs pays.
Vous n'y pouvez rien, c'est quelque chose que vous n'avez pas choisi et que vous ne pouvez pas différer. C'est l'heure du choix. Les événements au Maghreb vous l'imposent. Et pour l'instant, vous faites le mauvais. Il vous est donné de choisir entre la "diplomatie de la défiance" et celle de la "confiance". Vous avez soutenu pendant des décennies des dictateurs. Ils torturaient, affamaient, emprisonnaient, pillaient les richesses de leurs pays. Vous ne les avez pas seulement soutenus, vous les avez encouragés. Vous leur avez donné tous les moyens pour qu'ils puissent récolter les fruits sonnants et trébuchants de leurs exactions. Vous avez accueilli dans vos banques les fonds détournés. Vous leur avez permis d'investir dans la pierre. Ca dure la pierre. Presque plus longtemps que les dictatures.
Je sais, vous aviez des excuses. Tout au moins les définissiez-vous comme telles. Il y avait le péril. Le péril rouge d'abord. Puis le péril jaune. Puis le péril vert. Celui de l'intégrisme musulman. Mais derrière toutes ces excuses, il y avait surtout des intérêts économiques. L'industrie pour la France qui depuis toujours embarque dans les voyages présidentiels des dizaines de grands patrons. Le pétrole, aux Etats-Unis, qui a motivé des "guerres préventives" et justifié par la suite la "torture préventive".
Aujourd'hui, vous êtes face a un dilemme. Il vous faut choisir entre un soutien aux...