Google et la webisation des intertubes
Internet est un réseau de tuyaux. Les informations qui y transitent sous forme d'impulsions électromagnétiques pour la majorité d'entre nous et de photons pour les plus chanceux, circulent de manière "éclatée" (cocorico), grâce à la commutation de paquets. Tous les paquets, ou trames de données qui commutent allègrement dans les tuyaux arrivent à leur destinataire grâce à la magie protocolaire.
Internet est un réseau de tuyaux. Les informations qui y transitent sous forme d'impulsions électromagnétiques pour la majorité d'entre nous et de photons pour les plus chanceux, circulent de manière "éclatée" (cocorico), grâce à la commutation de paquets. Tous les paquets, ou trames de données qui commutent allègrement dans les tuyaux arrivent à leur destinataire grâce à la magie protocolaire. Sur Internet, un espace public, les octets naissent libres et égaux en droit, pour reprendre la très belle tournure de la député Laure de la Raudière... enfin ça, c'est sur le papier.
Le web est un "accident" de l'histoire d'Internet
Le web est ce que l'on a pris l'habitude de désigner comme LA toile d'araignée, issue d'un protocole fonctionnant sur le réseau Internet (qui en compte des centaines) et qui sert à vous distiller des pages d'informations. Comme dans la vie réelle, un protocole est un ensemble de bonnes pratiques, de conventions, qui permettent à nos petits paquets commutés de savoir où ils doivent exactement arriver chez le destinataire, dans quelle application. Comme dans la vie réelle, le protocole expliquera que quand on rencontre une personne, on lui sert la main pour lui dire bonjour avant de pousser plus avant l'échange. Si votre interlocuteur vous tend la fesse droite au moment où vous lui tendez la main, vous vous doutez bien qu'une telle entorse au protocole risque...