FaceBook utilise la captology pour influencer ses moutons numériques
C'est une science qui a de l'avenir mais qui n'en est pas à ses prémices : l'influence de masse, ou des masses, au choix. De nombreuses expériences ont été menées aux USA, plus particulièrement, depuis les années 50, et ce sujet nous intéresse fortement à Reflets. Le principe de départ est assez simple : si une majorité est convaincue de quelque chose, l'effet de groupe devient un levier qui emporte l'adhésion du plus grand nombre.
C'est une science qui a de l'avenir mais qui n'en est pas à ses prémices : l'influence de masse, ou des masses, au choix. De nombreuses expériences ont été menées aux USA, plus particulièrement, depuis les années 50, et ce sujet nous intéresse fortement à Reflets.
Le principe de départ est assez simple : si une majorité est convaincue de quelque chose, l'effet de groupe devient un levier qui emporte l'adhésion du plus grand nombre. L'objectif des "influenceurs" est donc de parvenir à envoyer des messages particuliers à un certain nombre d'individus, et de faire que ces messages deviennent importants, au point de pouvoir déclencher, par exemple, des réflexes d'achats, des comportements particuliers, des réactions collectives à des événements, etc…
Bien entendu, personne ne pense être sous l'influence de ces systèmes de manipulation fabriqués dans des laboratoires aux budgets colossaux. Non, tout un chacun pense être à même de ne pas gober ce que l'on voudrait lui faire penser ou croire. Oui, mais…
Facebook, pris la main dans le sac
Le principe de pouvoir changer le comportement des individus, les influencer grâce aux outils technologiques numériques est étudié très sérieusement, et officiellement, depuis le milieu des années 90. Cette science a un nom, la captology : Computers As Persuasive Technologies = CAPT. L'université de Stanford accueille ce labo de "persuasion technologique...