Et alors ? Je suis chez moi !
Nous publions ci-dessous une lettre signée François F. adressé à la rédaction de Reflets. Chères journalopes anarcho-gauchistes, Je lis ici ou là que je porterais des costumes à plusieurs milliers d'euros offerts par un ami. Et alors ? Je porte ce que je veux chez moi ! Je vous demande moi pourquoi vous portez vos pulls élimés si typiques des journalistes ? Je demande aux femmes dans mes meetings si elles n'ont pas honte de leurs jupes longues, de leurs chemisiers ?
Nous publions ci-dessous une lettre signée François F. adressé à la rédaction de Reflets.
Chères journalopes anarcho-gauchistes,
Je lis ici ou là que je porterais des costumes à plusieurs milliers d'euros offerts par un ami. Et alors ? Je porte ce que je veux chez moi ! Je vous demande moi pourquoi vous portez vos pulls élimés si typiques des journalistes ? Je demande aux femmes dans mes meetings si elles n'ont pas honte de leurs jupes longues, de leurs chemisiers ? Je lis ailleurs que mes enfants m'auraient reversé une partie de leurs indemnités lorsqu'ils étaient salariés comme assistants parlementaires. Et alors ? Mes enfants font ce qu'ils veulent de leur argent et moi aussi. Si je veux profiter de ces sommes pour retaper ma petite masure à 750.000 euros, qu'est-ce que cela peut bien vous faire ? Je suis chez moi, non ?
J'entends que je ne respecterais pas ma propre parole parce que j'aurais dit que je ne me présenterais pas si j'étais mis en examen... Et alors ? Quand bien même j'aurais dit ça, ce qui n'est absolument pas prouvé, à part dans les fake-news propagées par la gauchiasse qui a mené notre pays au chaos, je fais ce que je veux et je dis ce que je veux devant mes micros. Je suis encore chez moi, non ? Ce sont MES micros. On paye bien assez cher nos salles de meeting et leur sonorisation !
A propos de gauchiasse... Notez qu'en effet, le pays est au bord de l'abîme. Le chaos, je vous dis. Et vous, les...