En politique, il faut toujours garder espoir : #valls
Ce qui est intéressant dans le "moment politique" que le pays des 500 fromages et des ronds-points payés par vos impôts vient de vivre, c'est qu'il est totalement absurde. Imaginez quand même qu'après deux ans de hollandisme mou et ennuyeux à mourir, mais marqué par une austérité colossale toute bruxelloise imposée aux masses, doublée de cadeaux bidons aux entreprises qui ne changeront rien à la problématique économique, le président du changement c'est maintenant a décidé de…
Ce qui est intéressant dans le "moment politique" que le pays des 500 fromages et des ronds-points payés par vos impôts vient de vivre, c'est qu'il est totalement absurde. Imaginez quand même qu'après deux ans de hollandisme mou et ennuyeux à mourir, mais marqué par une austérité colossale toute bruxelloise imposée aux masses, doublée de cadeaux bidons aux entreprises qui ne changeront rien à la problématique économique, le président du changement c'est maintenant a décidé de…changer de premier sinistre et de gouvernement ! Whaooooo : féroce. On reste pantois. A cause de quoi ? Des élections locales.
Ah, bon, ok, pas très logique, mais bon, perdre 157 villes de plus de 9000 habitants, ça marque mal. On sent comme un agacement électoral des 62% qui ont eu le courage d'aller se taper cet exercice de plus en plus ridicule nommé "élection". Alors on change de sinistre et de gouv. Comme pas mal d'analyses expliquent que c'est-parce-que-la gauche-elle-y-croit-plus-et-qu'elle-va-plus-assez-voter, la logique voudrait que le super président du changement nomme quelqu'un plus à gauche, non ? Et bien non, au contraire, il nomme le plus à droite de tous les ténors du parti social démocrate (de droite) appelé par certains "Parti Socialiste" : Manuel Valls.
Attention, l'usage de Novlangue peut nuire à la santé démocratique
Oui, mais si c'est absurde d'un...