Ecologie : si on arrêtait l'enfumage, deux minutes ?
(Ca devient très très agaçant les leçons d'écologies du XXIème siècle, leçons très décalées et souvent hors-sujet. Au fond, si l'on reprend un peu l'histoire et qu'on observe ce qu'il se passe aujourd'hui, est-il vraiment intelligent d'être "écologiste" ? Pas si certain…) Au début des années 70 ils étaient pris pour des rétrogrades totalement abrutis : les hippies écologistes.
(Ca devient très très agaçant les leçons d'écologies du XXIème siècle, leçons très décalées et souvent hors-sujet. Au fond, si l'on reprend un peu l'histoire et qu'on observe ce qu'il se passe aujourd'hui, est-il vraiment intelligent d'être "écologiste" ? Pas si certain…)
Au début des années 70 ils étaient pris pour des rétrogrades totalement abrutis : les hippies écologistes. Ils militaient contre le nucléaire, faisaient la promotion de l'agrobiologie (ainsi nommée à l'époque) et critiquaient la société de consommation. Les politiques, ainsi qu'une énorme majorité de la population se sont foutus de leur gueule jusqu'à que certain problèmes surviennent, mis en avant par des gens "sérieux" : les scientifiques. Problèmes que personne ne peut vérifier par lui-même, puisqu'à "l'échelle de la planète".
Les problèmes en question étaient les gaz à effet de serre dans les années 90, puis le Co2 à partir des années 2006-2007 avec l'alerte émise par le GIEC et le film d'Al Gore "Une vérité qui dérange". Là, d'un seul coup, le Français moyen qui sur-consommait de l'électricité, du fioul, achetait tout et n'importe quoi sans se soucier de l'origine des produits, de l'énergie consommé, des rejets polluants, s'est mis à vouloir "protéger la planète". Les médias l'ont bien aidé : campagnes pour sauver la planète, grenelle de l'environnement pour...