E-Archéologie : les ruines numériques de l'UMP à l'ère post Bygmalion
De temps en temps sur Reflets, nous aimons revenir à postériori sur des dossiers qui nous ont fait pisser quelques pixels... les "cold cases". Ce qu'il y a de bien avec les "cold cases" de l'UMP, c'est qu'il n'y a souvent même pas besoin de les passer au microondes pour les resservir chauds bouillants. Et comme on se sentait un peu l'âme de cyber archéologues la nuit dernière, nous sommes allés déterrer le cold case Bygmalion.
De temps en temps sur Reflets, nous aimons revenir à postériori sur des dossiers qui nous ont fait pisser quelques pixels... les "cold cases". Ce qu'il y a de bien avec les "cold cases" de l'UMP, c'est qu'il n'y a souvent même pas besoin de les passer au microondes pour les resservir chauds bouillants. Et comme on se sentait un peu l'âme de cyber archéologues la nuit dernière, nous sommes allés déterrer le cold case Bygmalion.
À l'époque du battage médiatique autour du volet financier de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy pour lequel les facturations de prestations imaginaires de l'UMP par Bygmalion sont probablement qu'un amuse-gueule, nous avions retrouvé une soixantaine de sites réalisés par l'agence de communication hipster-active des jeunes qui n'en veulent de l'UMP.
Reflets vous propose donc aujourd'hui un circuit cyber-touristique tout compris, avec des destinations qui vous feront rêver, ou hurler. Les vestiges de Bygmalion, vous allez le voir, sont fascinants. Vous pouvez évidemment faire vos propres recherches si celles-ci ne tuent pas toute la planète... ah.. et évitez de vous maintenir dans un espace public également, vous avez le doit à une seule page par domaine (2 pages = paff maintien frauduleux dans un espace public), on sait jamais.
C'est parti...
Chez Jean François Copé, on est passé de ça
à ça ...