Décryptage : petite leçon de journalisme (environnemental)
Le métier de journaliste est particulier. Il comporte des règles. Des habitudes. Des schémas établis. Des ruses aussi. Orienter l'information, travailler l'opinion est un art journalistique. Dans le même temps, le journalisme dit "d'opinion", peu présent en France, n'a pas vocation, lui, à influencer de façon déguisée : il affiche la couleur. Il prend parti. Reflets est un journal d'opinion, et il ne pratique pas le journalisme de la même manière que la plupart des médias français.
Le métier de journaliste est particulier. Il comporte des règles. Des habitudes. Des schémas établis. Des ruses aussi. Orienter l'information, travailler l'opinion est un art journalistique. Dans le même temps, le journalisme dit "d'opinion", peu présent en France, n'a pas vocation, lui, à influencer de façon déguisée : il affiche la couleur. Il prend parti. Reflets est un journal d'opinion, et il ne pratique pas le journalisme de la même manière que la plupart des médias français. C'est un choix. Sur le fond, mais aussi la forme.
Si la provocation, par le biais du pamphlet, par exemple, est une méthode comme une autre pour amener à la réflexion sur certains sujets, des lecteurs peuvent en être choqués, voire agacés, énervés. Ces lecteurs peuvent penser que certains journalistes qui écrivent sur Reflets, par leur ton, leur manière d'amener les choses, ne sont pas sérieux. Ne connaissent pas les sujets qu'ils traitent. Racontent n'importe quoi. Il est donc normal de démontrer à ces lecteurs, comment un "vrai" journaliste, compétent, expérimenté, payé par le service public, traite un sujet comme celui de la problématique environnementale mondiale et plus particulièrement celui du réchauffement climatique en lien avec la publication du dernier rapport du GIEC.
C'est donc une chronique sur France Inter, très récente, qui a été choisie : "Planète...