Crise européenne : la fin des haricots ?
Rien n'a été fait sur Reflets pour vous épargner une compréhension la plus large et la plus réaliste possible de cette fameuse crise faussement intitulée, "des dettes souveraines". Le système politique ultra libéral européen est au cœur du problème, dévoré de l'intérieur par ce qui est nommé pudiquement les "marchés financiers" soutenu par une contrainte politique qui est celle du néo-libéralisme.
Rien n'a été fait sur Reflets pour vous épargner une compréhension la plus large et la plus réaliste possible de cette fameuse crise faussement intitulée, "des dettes souveraines". Le système politique ultra libéral européen est au cœur du problème, dévoré de l'intérieur par ce qui est nommé pudiquement les "marchés financiers" soutenu par une contrainte politique qui est celle du néo-libéralisme. Les peuples des nations les plus fragiles (Grèce, Espagne, Portugal) vivent en ce moment même des drames que l'on imagine difficilement dans notre bon vieux pays du pinard et du foie gras, bien que la pauvreté y progresse chaque année un peu plus alors que l'argent y circule pourtant à flots et que la rente des 1% d'ultra-riches ne cesse de croître.
Tout ça n'est qu'un prélude. Un prélude des plus inquiétants. Et ne sont pas les mesurettes qu'Hollande le social-démocrate arrachera à Angela l'austère libérale qui y changeront quoi que ce soit : le ver est dans le fruit depuis longtemps et ceux qui l'y ont placé ne sont pas prêts de le retirer. C'est une idéologie qui nous a amèné là où nous sommes aujourd'hui, celle du fameux néo-libéralisme.
Comme le communisme a mené l'URSS à son écroulement, le néo-libéralisme semble vouloir nous faire subir une lente et misérable chute. Alors, pour bien percuter sur l'état des lieux, là où nous allons, quelques outils :
En premier, une émission d'Arte, qui fait le...