Coucou, c'est Liliane, je vous fais une blague qui le vaut bien...
C'est l'histoire d'une dame un peu âgée, très riche, qui se pointe ces derniers jours en racontant à qui veut l'écouter, qu'elle voudrait bien payer plus d'impôts, qu'elle voudrait participer à une sorte d'effort national pour sortir le pays de la crise économique et financière dans laquelle il est plongé.
C'est l'histoire d'une dame un peu âgée, très riche, qui se pointe ces derniers jours en racontant à qui veut l'écouter, qu'elle voudrait bien payer plus d'impôts, qu'elle voudrait participer à une sorte d'effort national pour sortir le pays de la crise économique et financière dans laquelle il est plongé. Sur le mode Warren Buffett, mais en moins classe, Liliane Bettencourt a co-signé un appel de quelques patrons très fortunés qui souhaitent payer une contribution exceptionnelle (faudrait pas que ça dure, non plus) sur leurs revenus.
Reflets a une proposition pour Liliane (ou ceux qui gèrent son petit pécule)...
Au lieu de réclamer une taxation exceptionnelle pour aider ce pays, Liliane pourrait commencer par payer ce qu'elle doit. Ainsi, elle pourrait commencer par arrêter de dissimuler au fisc certains avoirs ou, plus joliment dit, arrêter de faire de "l'optimisation fiscale" qui se traduit par quelques millions planqués dans des paradis fiscaux.
Petit retour en arrière : lorsque "l'affaire Bettencourt" battait son plein, les écoutes de ses conversations avaient révélé qu'elle disposait de quelque 100 millions d'euros (pour arrondir) placés en Suisse à l'insu du fisc français. Un redressement de 30 millions lui a été adressé, selon Marianne. Liliane avait également monté une structure particulièrement opaque pour cacher son acquisition de l’Ile d’Arros aux Seychelles. Une façon de...