Changer le monde
Changer le monde tous les matins, ça doit être fatiguant. J’avais déjà évoqué cet aspect du travail dans la com’ dans un précédent billet. J’y reviens en détail. Certaines personnes ont un travail qui vise à changer, ou tout au moins, à améliorer nos vies, le monde dans lequel nous évoluons. C’est sans doute le cas des éditorialistes, des médecins, des membres des ONG, etc. La liste est longue.
Changer le monde tous les matins, ça doit être fatiguant.
J’avais déjà évoqué cet aspect du travail dans la com’ dans un précédent billet. J’y reviens en détail.
Certaines personnes ont un travail qui vise à changer, ou tout au moins, à améliorer nos vies, le monde dans lequel nous évoluons. C’est sans doute le cas des éditorialistes, des médecins, des membres des ONG, etc. La liste est longue.
Je ne les ai jamais vu affirmer par leurs paroles ou leurs comportement que leur travail était essentiel et qu’il vise à changer le monde. Peut-être, me direz-vous, parce que je n’ai pas passé quelques années dans ce domaine. Il sera toujours temps d’ouvrir un blog “bienvenuedanslamedecine.com” un jour ?
En revanche, j’observe avec commisération les réunions et leurs participant(e)s au sein de l’Agence. J’observe avec perplexité les "créatifs" qui restent jusqu’à minuit, ou plus, pour boucler un document pour les clients parce que sinon, le monde va – forcément – s’écrouler…
Voyez-vous, les réunions de deux heures, ou plus, qui vont tourner autour d’une seule phrase pour “vendre” un tube de dentifrice ou les journées de soldes d’un grand magasin me plongent dans un abîme de réflexions.
Comment peut-on perdre autant de temps et d’énergie sur quelque chose d’aussi insignifiant ? Le résultat étant de toutes manières assez risible ( genre “100% des gagnants on tenté leur chance”) et si éloigné des problématiques de ce monde… Comment peut-on se prendre au sérieux et imaginer...