Après Christine Laboullette Lagarde, François Laboulette Baroin
Disons le tout net, la rédaction de Reflets était toute peinée du départ pour Washington de Christine Laboulette Lagarde. Elle avait un tel potentiel comique, que c'est forcément une perte pour la nation. Pour se remonter le moral, on se disait ici qu'avec son nouveau poste de Directrice générale du Fonds monétaire International, ses boulettes allaient prendre une ampleur mondiale, ce qui est flatteur pour la France. Je vous propose un petit retour en arrière.
Disons le tout net, la rédaction de Reflets était toute peinée du départ pour Washington de Christine Laboulette Lagarde. Elle avait un tel potentiel comique, que c'est forcément une perte pour la nation. Pour se remonter le moral, on se disait ici qu'avec son nouveau poste de Directrice générale du Fonds monétaire International, ses boulettes allaient prendre une ampleur mondiale, ce qui est flatteur pour la France.
Je vous propose un petit retour en arrière. Le 8 avril, seulement sept jours après le fameux jour, Christine (c'est décidé, on s'appelle par nos prénoms. Entre amuseurs, c'est normal) nous gratifiait d'une de ses fameuses tirades qui font rire les enfants et pleurer les adultes :
Il faut remonter, cette fois, au sauvetage de la Grèce :
« Dans le cas de la Grèce, chaque pays a consenti des prêts. Cette fois, on constitue un fonds qui ira emprunter sur les marchés pour ensuite prêter aux pays qui en auront besoin. Les Etats membres ne sont là que pour donner une garantie. D’un point de vue du budget, ça ne coûte rien et ça rapportera en fin de compte. Les intérêts payés par l’Irlande et la Grèce sont, en effet, supérieurs à ceux que paie la France. »
Aujourd’hui, Bercy a annoncé le déficit budgétaire de la France. On s’en doute, il est absolument catastrophique.
Et quelle excuse trouve Christine Lagarde ?
Cette évolution du solde budgétaire s’explique notamment « par une dégradation du solde des comptes spéciaux (avances...