Anatomie d'un blindage...
Il n'y a pas de raisons. Tout le monde s'en donne à coeur joie à propos de Christophe Barbier et de sa petite tirade à deux cents d'euros sur les Anonymous. A mon tour. Il semble que Christophe Barbier ait du mal avec le sens du mot blindage. Il confond les Anonymous et V, le personnage de V pour vendetta, la BD dont le masque, emblème -en quelque sorte, des Anonymous est sorti.
Il n'y a pas de raisons. Tout le monde s'en donne à coeur joie à propos de Christophe Barbier et de sa petite tirade à deux cents d'euros sur les Anonymous. A mon tour.
Il semble que Christophe Barbier ait du mal avec le sens du mot blindage. Il confond les Anonymous et V, le personnage de V pour vendetta, la BD dont le masque, emblème -en quelque sorte, des Anonymous est sorti. Alors convoquons V et laissons le parler :
"Words offer the means to meaning, and for those who will listen, the enunciation of truth"
Les mots ont un sens et sont, entre les mains de certains, des armes.
Il n'est donc pas inutile de s'attarder deux minutes sur le mot "blindés" utilisé par Christophe Barbier et qui a déclenché, on s'en doute, un petit DDoS stupide.
Christophe Barbier est blindé. C'est certain. Par exemple, il est blindé de contacts dans le monde politico-économique de ce pays. Cela fait partie de son métier. C'est un ami de Carla Bruni, il connaît le président de la république, sans doute une tripotée de grands patrons.
Christophe Barbier est blindé sur le plan des techniques journalistiques. Il sait écrire un papier qui se tient (je ne parle pas du fond), il sait ce qu'est un chemin de fer, la gestion d'une conférence de rédaction, regarder les chiffres du journal, en tirer les conséquences, etc. Aucun Anonymous ne pourrait lui apprendre quoi que ce soit sur ce terrain.
Christophe Barbier est blindé en port...