Al Gore, le Nobel menteur, sauveur de planète et milliardaire du carbone (2)
Cette deuxième chronique au sujet d'Al Gore et de la [un peu trop grosse] vérité qui dérangeait — mais qui désormais excite plus les appétits financiers et politiques qu'autre chose — retrace comment un seul homme, très bien entouré, avec l'aide des plus grandes banques de la planète a réussi à faire basculer l'opinion mondiale et à réaliser son rêve. Commence par créer le système pour ton business… Ce qui est génial dans le business plan d'Al Gore, c'est qu'il est simple et efficace.
Cette deuxième chronique au sujet d'Al Gore et de la [un peu trop grosse] vérité qui dérangeait — mais qui désormais excite plus les appétits financiers et politiques qu'autre chose — retrace comment un seul homme, très bien entouré, avec l'aide des plus grandes banques de la planète a réussi à faire basculer l'opinion mondiale et à réaliser son rêve.
Commence par créer le système pour ton business…
Ce qui est génial dans le business plan d'Al Gore, c'est qu'il est simple et efficace. En 2003, le GIEC est encore un organisme dont pas grand monde ne parle. En tout cas, ni les médias ni les politiques ne sont particulièrement intéressés par cette histoire de réchauffement global causé par l'homme. La première palteforme du marché carbone débute aux USA, cette année là, et elle se nomme la Chicago Climate Exchange (CCX), mais ça ne prend pas vraiment. Par qui donc a été montée cette bourse carbone ? Pas par Al quand même ? Hum hum… pas directement, mais avec des bons potes dedans. Bon, en tout cas, le vieux pote d'Al, Maurice Strong, organisateur du sommet de Rio sur le climat, est membre du CA de la CCX quand même. Oh, et puis l'avocat Obama Barack participe à créer les statuts du bidule aussi :[Que les gens qui ont poussé à organiser les premiers sommets sur le changement climatique, puis à signer des traités sur la réduction des gaz à effet de serre soient les mêmes qui ont créé le système de bourse du marché...