Gloubi-boulga intellectuel
Les derniers articles de Yovan Menkevick ont attiré une nuée de commentaires. Résumons. On ne peut pas parler de sectes quand on parle de micro-courants politiques. On ne peut pas dire que leurs leaders se fourvoient quand ils fricotent avec des gens ouvertement placés à l'extrême-droite. Et pourquoi ? Parce que chez un homme, même d'extrême-droite, il pourrait y avoir de bonnes idées, et même s'il soutient un révisionniste ou un antisémite. Et puis quoi, merde, on est plus à la même époque.
Les derniers articles de Yovan Menkevick ont attiré une nuée de commentaires. Résumons. On ne peut pas parler de sectes quand on parle de micro-courants politiques. On ne peut pas dire que leurs leaders se fourvoient quand ils fricotent avec des gens ouvertement placés à l'extrême-droite. Et pourquoi ? Parce que chez un homme, même d'extrême-droite, il pourrait y avoir de bonnes idées, et même s'il soutient un révisionniste ou un antisémite. Et puis quoi, merde, on est plus à la même époque. L'extrême droite d'aujourd'hui, ce n'est pas Hitler. N'est-ce pas ?
Comment en arrive-t-on a penser cela ?
En faisant du gloubi-boulga.
Les plus jeunes, qui font souvent partie des trolls attirés par le pot de miel de Yovan, ne savent peut-être pas ce qu'est le gloubi-boulga :
Selon Casimir, la recette du gloubi-boulga est la suivante :
Mélanger dans un saladier : - de la confiture de fraises, - du chocolat râpé, - de la banane écrasée, - de la moutarde très forte, - de la saucisse de Toulouse « crue mais tiède ». Selon son humeur, Casimir ajoute parfois à ces cinq ingrédients majeurs un autre ingrédient (crème chantilly, anchois...).
Partons du principe que nous sommes dans une sorte d'oligarchie où une élite tente de préserver ses acquis et ceux de ses amis, au détriment de la majorité. On a le concept des 1% et des 99% porté par le mouvement #Occupy. Dans un monde désabusé, les 99% recherchent un projet pour...