Tout à cacher
Contrairement à ce que le titre de cet article pourrait laisser croire, il ne vise pas à contredire le contenu de l'article de Laurent Chemla paru sur Reflets aujourd'hui. Je n'ai jamais lu un article de Laurent Chemla avec lequel je sois en désaccord. Même pas un petit bout d'article. C'est dire...
Contrairement à ce que le titre de cet article pourrait laisser croire, il ne vise pas à contredire le contenu de l'article de Laurent Chemla paru sur Reflets aujourd'hui. Je n'ai jamais lu un article de Laurent Chemla avec lequel je sois en désaccord. Même pas un petit bout d'article. C'est dire. Au contraire, je pense que ses articles sont trop rares et qu'il devrait en publier bien plus. Non, ce titre vise à vous donner une autre perspective. Celle de quelqu'un qui pense que l'on a tout à cacher. Non pas parce que l'on se laisse aller à des activités que la loi, l'éthique ou la morale réprouvent. Mais parce que dans "vie privée", il y a le mot "privée". Et que ce qui nous différencie, nous les êtres humains, c'est justement notre vie privée. Nous départir ce cela, c'est renoncer à notre unicité.
J'avais pris il y a trois ans le thème des zoophiles à tendance teckels morts pour parler de "vie privée" à PSES.
Imaginons que vous n'ayez "rien à cacher".
Premier point, les entreprises se réjouissent que vous n'ayez rien à cacher. Elles n'ont pas pour objet central de vous fournir un bien ou un service. Ni de faire le bonheur de leurs salariés. L'éthique n'est pas une valeur fondatrice pour une entreprise. Son but premier est "de faire des profits". De là découlent pas mal de comportements qui...