Qosmos et FSI : restons optimistes, il reste quelques dictatures et quelques Etats policiers
Pendant qu'Amesys (désolé de troller cher Aziz Ridouan et chère Fleur Pellerin) voit les soucis judiciaires arriver, pendant que Bull maquille une pseudo vente de la partie Eagle en la cédant à son ancien dirigeant, Qosmos bouge. Cette autre entreprise spécialisée dans le Deep Packet Inspection et qui avait été prise la main dans le pot de confiture syrien est, comme Bull/Amesys, bénéficiaire de fonds publics via le Fonds stratégique d'investissement.
Pendant qu'Amesys (désolé de troller cher Aziz Ridouan et chère Fleur Pellerin) voit les soucis judiciaires arriver, pendant que Bull maquille une pseudo vente de la partie Eagle en la cédant à son ancien dirigeant, Qosmos bouge. Cette autre entreprise spécialisée dans le Deep Packet Inspection et qui avait été prise la main dans le pot de confiture syrien est, comme Bull/Amesys, bénéficiaire de fonds publics via le Fonds stratégique d'investissement.
Visiblement, en dépit de ces investissements, Qosmos ne va pas bien. Selon la lettre A (du 20 décembre 2012), l'objectif de chiffre d'affaires ne sera pas atteint :
"Qosmos, spécialiste du deep packet inspection (DPI), dans lequel le FSI a investi une dizaine de millions d'euros en septembre 2011, ne présente pas non plus un brillant compte de résultats. L’objectif de 14 millions de chiffre d’affaires cette année ne sera pas atteint. S'ajoute à ces éléments la perspective d'un procès pour "complicité de torture" suite aux plaintes de la FIDH et de la Ligue des droits de l'homme pour le concours qu’aurait apporté l’entreprise - à travers certains sous-traitants - au régime syrien de Bachar al-Assad. Il faudra toutefois plus que ces arguments éthiques et financiers pour que le FSI se désengage. Pas question d'abandonner cette start-up véritablement stratégique qui permet de lire les flux de données sur le net".
Pourtant, en 2011 à l'époque de...