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par Antoine Champagne - kitetoa

@fhollande ne parle pas anglais, la preuve...

Coucou... C'est mardi... Le mardi, c'est permis. Séquence décryptage... Pendant son discours au Bourget, François Hollande avait déclaré que son ennemi, c'était la finance.   «Mon véritable adversaire, c'est la finance»   Et son équipe de spécialistes du Web 2.0, se réjouissait :   Romain Pigenel incite, lui, les participants à mettre en valeur les propos de François Hollande sur la finance car ils ont été «très bien reçus» à la gauche du PS.

Coucou...

C'est mardi...

Le mardi, c'est permis.

Séquence décryptage...

Pendant son discours au Bourget, François Hollande avait déclaré que son ennemi, c'était la finance.

 

«Mon véritable adversaire, c'est la finance»

 

Et son équipe de spécialistes du Web 2.0, se réjouissait :

 

Romain Pigenel incite, lui, les participants à mettre en valeur les propos de François Hollande sur la finance car ils ont été «très bien reçus» à la gauche du PS.

 

François Hollande a parlé aux correspondants des journaux britanniques. Il a tenté de leur faire croire qu'il parlait anglais.

 

Hollande said he speaks English "like a Frenchman, with an accent, but I speak it". He said he knew Britain and had "no apprehensions or prejudices" about it.

Pourtant, il n'en est rien. Car en voulant leur redire ce qu'il avait dit en Français :

 

«Mon véritable adversaire, c'est la finance»

 

François Hollande leur a dit, en anglais, tout le contraire :

 

"The 1980s was a different era. People said there would be Soviet tanks on the Place de La Concorde. That era is over, it's history. It's normal there were fears then. There had been 23 years of the right in power, the cold war was on and Mitterrand nominated Communist ministers to government. Today there are no Communists in France ... the left was in government for 15 years in which we liberalised the economy and opened up the markets to finance and privatisations. There is no big fear."

 

Traduction :

 

"La gauche a été au gouvernement pendant quinze ans au cours desquels nous avons libéralisé l'économie, ouvert les marchés à la finance et aux privatisations. Il n'y a rien à craindre"

 

Trêve de plaisanteries... Le problème est que justement, dans sa version anglaise, le discours de François Hollande est pure vérité. Reflets va prochainement détailler ce point... Stay tuned.

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