SOS Racisme plaide pour un régime Orwellien
Renforcer l'arsenal juridique contre internet, "principal outil de la diffusion de la haine raciale", pour Cindy Léoni, "il y a urgence à y mettre un coup d'arrêt". Le moins que l'on puisse dire c'est que la première sortie médiatique de la toute nouvelle présidente de SOS Racisme, dont le fondateur vient d'être nommé (à défaut d'être "élu" démocratiquement) à la tête du Parti Socialiste, est une catastrophe.
Le moins que l'on puisse dire c'est que la première sortie médiatique de la toute nouvelle présidente de SOS Racisme, dont le fondateur vient d'être nommé (à défaut d'être "élu" démocratiquement) à la tête du Parti Socialiste, est une catastrophe.
Comme il est permis de douter que cette idée brillante sorte de ce qui lui sert de cerveau, il est - du même coup - permis d'avoir très peur de ce que nous réserve le nouveau pouvoir en place en matière de contrôle social et de mise sous surveillance de l'internet Français.
Dura Lex, Sed Lex
Initié dans un grand élan populaire dans les années 80 (full disclosure, j'étais à l'époque à fond là dedans), SOS Racisme a rapidement dégénéré en poussant le pouvoir en place vers une solution législative au problème du racisme. Solution qui s'est rapidement retrouvé être la seule et unique approche proposée par l'organisation.
Testing, et punition des contrevenants. De l'entrée de boites de nuits à l'envoi de candidatures à des offres d'emploi, la présidente de SOS Racisme convient elle même que les résultats font peur. A croire que la méthode est parfaitement innefficace pour lutter contre le racisme. Pourtant, il n'est nullement question de la remettre...