Politique : le besoin urgent de créer de nouveaux modèles
Difficile, dans ce pays aux paysages merveilleux et aux pinard uniques [la Frrrrrrrance], de parler politique. Créer du sens, chercher, échanger sur les possibilités de faire cité, mène immanquablement au phénomène dit du clivage. Droite, gauche, gauche de la gauche, extrême droite, droite de la droite, voire Rouge-Brun, et même Bleu-marine : impossible de sortir de ces vieux clivages faits d'idéologies plus ou moins vieillottes et consternantes.
Difficile, dans ce pays aux paysages merveilleux et aux pinard uniques [la Frrrrrrrance], de parler politique. Créer du sens, chercher, échanger sur les possibilités de faire cité, mène immanquablement au phénomène dit du clivage.
Droite, gauche, gauche de la gauche, extrême droite, droite de la droite, voire Rouge-Brun, et même Bleu-marine : impossible de sortir de ces vieux clivages faits d'idéologies plus ou moins vieillottes et consternantes. Le plus amusant est de voir la confusion la plus grande se répandre entre factions de la population visiblement irréconciliables parce qu'ancrées dans des camps qui ne peuvent que se combattre. Il y aurait ainsi les gens ancrés à gauche : ils croient en des valeurs de gauche, plus ou moins marquées, jusqu'aux super représentants de Karl, gonflés aux slogans des auteurs du XIXème, et du début du XXème siècle, qui affichent des grands A comme on porte un tee-shirt de Death-Metal. Il faut bien marquer son identité et se laisser croire qu'on défend les bonnes valeurs, tout en vivant à rebours de celles-ci, sans aucune chance que le monde qu'on aimerait créer ne puisse exister un jour. Et quand bien même il existerait, pas certain que ceux qui pensent en être les principaux acteurs ne seraient pas les premiers à avoir du mal avec celui-ci : les anarchistes en carton remplissent les annales des combats politiques, la société post-moderne néo-libérale se porte très bien, merci pour elle. Et tant pis pour...