On écrit à Reflets à propos de l'article sur le GIEC
Généralement, les courriers arrivent de la part des entités mises en causes dans un article. Je me souviens bien d'un ancien patron de l'INSEE qui m'avait envoyé une longue bafouille s'indignant d'un dossier publié par votre serviteur sur le recensement et qui tendait à démontrer combien celui-ci était intrusif, peu encadré, à la limite de l'arnaque. Le journal a publié le droit de réponse.
Généralement, les courriers arrivent de la part des entités mises en causes dans un article. Je me souviens bien d'un ancien patron de l'INSEE qui m'avait envoyé une longue bafouille s'indignant d'un dossier publié par votre serviteur sur le recensement et qui tendait à démontrer combien celui-ci était intrusif, peu encadré, à la limite de l'arnaque. Le journal a publié le droit de réponse. Et j'en ai profité pour caler toutes les informations que je n'avais eu la place de passer dans mon dossier. Nous n'avons plus jamais eu de nouvelles du patron de l'INSEE.
Cette fois, c'est chez Reflets que je reçois un courrier. Mais pas d'une personne ou d'une institution mise en cause dans l'un des 1.573 articles publiés par le site. Non, cette fois, c'est un troll lecteur qui nous écrit. Ou plus précisément, qui nous somme, de répondre à son point de vue sur l'un de nos articles. Son point de vue a été mis en ligne et il s'étonne, à intervalles réguliers, que nous n'ayons pas encore répondu (lire ce commentaire et les suivants). Notre non-réponse ruinerait tout le travail effectué par Reflets depuis sa création. Pas moins.
Qu'on se le dise, Reflets a, selon ce lecteur, "ruiné sa crédibilité" en un seul article. Salaud de Yovan Menkevick qui vient briser tout ce que nous avons construit depuis trois ans ! Tu es viré ! Les faits sont graves tout de même. Depuis quelques jours nous n'avons...