L'échec des antivirus... c'est Symantec qui le dit
Symantec est une entreprise mondialement connue pour la vente liée de ses solutions antivirales. Quand vous achetez un ordinateur neuf, avec Windows pré-installé, en fonction des constructeurs, il n'est pas rare que vous y trouviez une version des solutions de sécurité de cet éditeur, gracieusement offerte pour une durée donnée (3 mois, 6 mois, un an...). Ensuite plus moyen de le mettre à jour sans passer à la caisse, ni même de le désinstaller proprement.
Symantec est une entreprise mondialement connue pour la vente liée de ses solutions antivirales. Quand vous achetez un ordinateur neuf, avec Windows pré-installé, en fonction des constructeurs, il n'est pas rare que vous y trouviez une version des solutions de sécurité de cet éditeur, gracieusement offerte pour une durée donnée (3 mois, 6 mois, un an...). Ensuite plus moyen de le mettre à jour sans passer à la caisse, ni même de le désinstaller proprement. Ce business model a permis à Symantec d'assurer une part significative de son chiffre d'affaires sur le marché grand public, tout content qu'il était d'être "protégé"... et une fois "protégé", on fait n'importe quoi, pour finir par se rendre compte qu'au final, un antivirus, ça ne remplace quand même pas une bonne paire de neurones en éveil. Après moult réinstallations, on finit par se dire qu'au final, un antivirus, en dehors de considérablement ralentir son système, c'est surtout utile quand c'est déjà trop tard.
Le petit monde de la sécurité a une spécificité qui lui est propre. Pour vendre une solution, il faut vous faire peur. Peu importe si cette dernière est efficace ou non, et par définition un antivirus ne peut être "efficace", la peur est le principal moteur du business de la sécurité informatique. Le second moteur de ce marché est intimement lié au premier, il s'agit de l'ignorance. L'ignorance impliquant la peur de...