Le pape : 16, les chevaux : 10, la Syrie : 0
Vides coco -ad turbam omnes coco dicitur, non quod sinistrae sumus sed habitus) Ah, oui, non, ce n'est pas une bulle du pape... Reprenons en français : tu vois, coco -dans la presse, on s'appelle tous coco, non pas parce que l'on est de gauche, mais par habitude, il y a des lois. Des règles. Et pour les changer, c'est pire que pour trouver quelqu'un qui nous ponde une nouvelle constitution. Quant à la démocratie qui pourrait imposer un changement de règles... Et bien non.
Vides coco -ad turbam omnes coco dicitur, non quod sinistrae sumus sed habitus) Ah, oui, non, ce n'est pas une bulle du pape... Reprenons en français : tu vois, coco -dans la presse, on s'appelle tous coco, non pas parce que l'on est de gauche, mais par habitude, il y a des lois. Des règles. Et pour les changer, c'est pire que pour trouver quelqu'un qui nous ponde une nouvelle constitution. Quant à la démocratie qui pourrait imposer un changement de règles... Et bien non.
Tout ça pour te dire coco, que dans la presse, il y a deux choses fondamentales qui président à la fabrication du journal. Des choses qui planent tels des vautours noirs au dessus de chaque conférence de rédaction (l'apéro, chez nous) : la hiérarchie de l'information et la loi de proximité. La première découle de la seconde. Explications...
Cher lecteur, tu ne le sait peut-être pas, mais lorsque tu lis un journal, ton oeil est avant tout attiré par la partie gauche de la page (non pas parce que tu es de gauche, mais parce que c'est comme ça). Du coup, une grosse info sera placée en haut, à gauche.
Dans l'esprit des journalistes qui ont inventé la loi de proximité, ami lecteur, tu es bien plus intéressé par un adultère s'étant déroulé hier dans ta rue et ayant fini tragiquement (l'amant est parti en courant, tout nu, dans la rue, poursuivi par le boucher, monsieur Gérard qui était armé d'un couteau tranchant, lui-même poursuivi par sa femme qui...