La survie de l’espèce, ou pas...
La survie de l’espèce, c’est la BD qui permet d’arrêter de faire semblant de comprendre quand on vous parle finance… Et pourtant, cette BD n’a pas été faite uniquement pour les personnes, comme moi, qui vivent dans un monde de Bisounours où les patrons cherchent notre épanouissement et les banquiers à nous faire économiser de l’argent… La survie de l’espèce présente une vision du monde financier à la fois drôle, réaliste et satirique.
La survie de l’espèce, c’est la BD qui permet d’arrêter de faire semblant de comprendre quand on vous parle finance… Et pourtant, cette BD n’a pas été faite uniquement pour les personnes, comme moi, qui vivent dans un monde de Bisounours où les patrons cherchent notre épanouissement et les banquiers à nous faire économiser de l’argent…
La survie de l’espèce présente une vision du monde financier à la fois drôle, réaliste et satirique. Les salariés en activité sont représentés par de petits Legos tous identiques, les entreprises par des chevaux de course montés par des jockeys (les patrons) et les capitalistes par des parieurs sans foi ni loi.
Les concepts d’exploitation de l’homme par l’homme, de surplus, de spéculation et de cotation continue sont abordés de façon simple à travers l’initiation d’un petit fils de riche par son gentil papa capitaliste. Ce dernier remet largement en cause la fameuse comptine pour enfant de l’offre et de la demande en entrainant son fils dans un monde obscur et cruel où financiers et politiciens se côtoient pour gouverner et s’enrichir toujours plus...
D’autres personnages tout aussi mordants viennent compléter ce tableau, à l’instar de Monsieur X, un trader accusé d’avoir créé un produit financier des plus pourris, empaqueté dans un joli paquet cadeau et destiné à générer de l’argent sur le dos des faibles… (Chose qu’il ne prendra d’ailleurs pas la peine de nier puisque les pauvres sont nés pour être pauvre).
Super drôle et...