La Grèce est sauvée (pour la 2eme fois) : quelques déclarations pour la postérité
Oyez-Oyez citoyens, le mirifique, le grandiose, le fantastique, le merveilleux président français, Nicolas Sarkozy a sauvé l’Europe. Ah, merde… On l’a déjà dit, ça. Oui, bon, il a sauvé l’Europe une troisième fois. Il y avait eu le premier plan de sauvetage de la Grèce, celui de l’Irlande, et maintenant, le deuxième plan pour la Grèce. Et croyez bien que sans lui, ce serait aujourd’hui l’apocalypse. L’Europe aurait volé en éclats.
Oyez-Oyez citoyens, le mirifique, le grandiose, le fantastique, le merveilleux président français, Nicolas Sarkozy a sauvé l’Europe. Ah, merde… On l’a déjà dit, ça. Oui, bon, il a sauvé l’Europe une troisième fois. Il y avait eu le premier plan de sauvetage de la Grèce, celui de l’Irlande, et maintenant, le deuxième plan pour la Grèce. Et croyez bien que sans lui, ce serait aujourd’hui l’apocalypse. L’Europe aurait volé en éclats. Parce que s’il avait fallu compter sur la chancelière allemande, on pouvait compter les abatis de l’Union.
D'ailleurs, il l'a expliqué à ses ministres et conseillers, comme le rapporte le Canard Enchaîné de cette semaine :
"Si je n'avais pas été là, il n'y aurait pas eu d'accord (...). J'ai fait exactement comme Henry Fonda dans un film que j'adore, "Douze hommes en colère", qui retourne un à un les jurés pour sauver la tête d'un jeune homme promis à une condamnation à mort. J'ai retourné les uns après les autres les chefs d'Etat et de gouvernement, ceux qui voulaient faire peur à la Grèce (...). J'espère qu'on aura l'honnêteté de le reconnaître". "Ils pourront dire ce qu'ils veulent les socialistes. Ce n'est pas un président normal, comme se revendique Hollande, qui aurait réussi à trouver une solution à la crise (...). Cela n'a pas été facile de convaincre tout le monde, il a fallu passer sept heures avec Merkel..."
Soyez-en sûrs, désormais...